Robert Werner lit les poètes
Honneur aux poètes... Dans cette émission qu'il anime depuis 2011, Robert Werner propose d’écouter chaque semaine un poème de son choix. Ces lectures composent une anthologie sonore, des rondeaux médiévaux aux vers contemporains, des grands classiques aux textes plus confidentiels. Journaliste et écrivain, Robert Werner est correspondant de l’Académie des beaux-arts. Il nous partage ses découvertes et son amour de la langue : "La poésie nous révèle à nous-mêmes. Elle nous écoute, nous console, nous secourt parfois... Savourer la richesse des mots, ceux du cœur, est un bonheur intense. »
La musique du générique de cette émission est le Psaume VIII pour chœur et orgue, composé par Jean-Jacques Werner en 1970 pour le collège Lucie Berger de Strasbourg. Il est chanté par la Maîtrise Notre-Dame de Paris, dirigée par Lionel Sow, avec Yannick Merlin à l'orgue de Saint-Antoine-des-Quinze-Vingts. Éditions Billaudot. Disque Ctésibios.
Stances à Thirsis, Honorat de Bueil de Racan
Enfance, Francis Carco
Méditation, Paul Géraldy
Quant je fus prins ou pavillon, Charles d'Orléans
Yver, vous n’estes qu’un villain, Charles d'Orléans
Du mouron pour les p'tits oiseaux, Jean Richepin
Et la fête continue, Jacques Prévert
La grand-mère voltairienne et son petit-fils qui ne l’était pas, Raymond Queneau
La chambre, Paul Géraldy
Page d’écriture, Jacques Prévert
Rose Blanche, Aristide Bruant
Le temps perdu, René-François Sully Prudhomme
Les Effarés, Arthur Rimbaud
Le Doigt de Dieu, Georges Fourest
Sagesse, Paul Géraldy
Déjeuner du matin, Jacques Prévert
Les yeux, René-François Sully Prudhomme
La maison des enfants, Louise de Vilmorin
Le grand métingue du métropolitain, Maurice Mac-Nab
La verdure dorée, Tristan Derème
Montmartre, Francis Carco
Pater Noster, Jacques Prévert
J'écris pour que le jour, Anna de Noailles
Si je mourais là-bas, Guillaume Apollinaire
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